Bonjour Maître, L’affaire m’oppose à certains chercheurs scientifiques et une famille influente qui m’ont pourri la vie. A chaque fois je prends un avocat, on fait pressions sur lui, il finit par renoncer à me défendre ou on le manipule il ne verse pas mes preuves au débat et me fait perdre l’affaire, ou on dépose son mémoire après clôture d’instruction, ou on ne dépose pas sa citation à prévenu auprès du service juridique de la partie adverse qui n’assure pas sa présence etc. le Bâtonnier a blanchit tous mes avocats ! Mes démarches de 2022 et 2024 contre mes avocats La première : mai 2022 Je suis en train de poursuivre un avocat qui n’a rien déposé auprès de la Cour d’Appel. Je lui ai confié une Plainte avec Constitution de partie civile (harcèlements, menaces, agressions avec CMI etc. par les mêmes personnes dans des lieux publics –photos et vidéos à l’appui). Cette plainte a été rejetée par la Doyenne des Juges Mme Le Goffe pour appel de non informer. Elle voulait une synthèse de l’affaire. Avec l’avocat qui a pris l’affaire, on a signé une convention d’honoraire pour 2 400 € par tranches de 400 € pour qu’il dépose une synthèse concernant ma Plainte avec Constitution de partie civile. Le jour de l’audience du 4 mai 2022, il m’informe que la Cour refuse de me recevoir. Puis il me demande ma pièce d’identité et de lui signer une autorisation pour me défendre ! J’ai satisfait sa demande. Il m’a envoyé le rejet de mon affaire car ni moi ni mon conseillé a déposé de mémoire ! Or, dans son courrier, cet avocat m’a informé que « la Cour nous a écouté mais elle ne nous a pas entendu » ! J’ai pris rendez-vous. Il s’est mis à me conseiller, étant donné que je suis handicapé, de : dès qu’on me touche je m’allonge par terre … ! je l'ai interrompu, lui disant que je ne sais pas jouer la comédie. Je lui ai demandé la raison pour lesquels il n’a rien déposé auprès de la Cour, (il ne l’a même pas informée qu’il était mon avocat, c’était mois même qui lui a informé de la date de l’audience) il m’a répondu que c’était moi qui lui a demandé de ne pas le faire ! Il a accepté de me rendre mon dossier. Par lettre (RAR), je lui ai demandé d’annoncer un sinistre auprès de son assurance. Il m’a demandé par retour de lui payer le reste de ses horaires sans m’accorder les coordonnées de son assureur ! Curieusement, le Bâtonnier lui a accordé, raison ! J’ai contacté en vain, cinq Conciliateurs, pour qu’ils interviennent, auprès de cet avocat, pour qu’il m'accorde les références de son assureur. Je cite à titre d’exemple Mme Carole Pascarel qui m’a répondu : Toutes les questions en matière de responsabilité civile et d’assurance ne relèvent pas de notre compétence ! J’ai fini par m'adresser au Conciliateur du Tribunal de Marseille. Il a accepté de convoquer l’avocat au 22/02/2024. L’avocat a fini par m’envoyer, par l’intermédiaire du Conciliateur, le nom d’une Société de Courtage du Barreau de Marseille ! J’ai contesté à multiples reprises auprès du Conciliateur, le manque de sérieux de cet avocat qui cherche à fuir à son devoir. Ma demande était d’établir un P V de difficulté pour que je puisse faire convoquer l’avocat devant le Juge pour le contraindre sous astreinte, à produire le nom de son assurance Responsabilité Civile Personnel. Le conciliateur par courrier du 30 avril 2024 m’a informé que ma demande ne ressort pas de ses compétences et qu’il la transmettra au Tribunal Judiciaire. Je l’ai relancé. Il s’est engagé le 13 septembre de le faire. Mais, je n’ai pas eu de suite ! Certaines de mes plaintes dans cette affaire ont été prescrites à cause de ces retards. Certains de mes détracteurs réapparaissent... Le Procureur de la République classe sans suite toutes mes plaintes. Curieusement, il change mes accusations d’harcèlements en chantages, il ferme les yeux sur mes agresseurs harceleurs bien que, un d’entre eux est un des proches d’une famille influente à la mairie de Marseille. Il est retraité de l’Hôtel de Ville alors que l’autre est leur coursier et travaille chez l’Association Médiation et Sociale. On a même réussi à me piéger par l’intermédiaire de l’assureur Generali (je n’ai jamais détenu de contrat avec eux). Generali a pris la place de ma Protection Juridique Pacifica. Dès que j’ai découvert que l’Assureur Generali a pris sa place et m’a même proposé deux avocats (on a détourné mon appel téléphonique du 27 mai 2022 vers Pacifica à Generali), j’ai avertis Pacifica. Pire encore, Pacifica m’a informé qu’elle a fait des recherches auprès de Generali qui lui a informé que je détenais un contrat chez eux depuis dix ans, en refusant de me fournir la preuve de ce contrat ! J’ai déposé plaintes. La deuxième affaire avril 2024, avec deux autres avocats Sous le conseil de mes médecins, depuis 2001 j’ai commencé à faire l’équitation. Mais depuis 2008, j’ai constaté que je fais l’objet d’harcèlements de la part d’un moniteur et d’une Dame corpulente. J’ai repéré cette Dame (j’ai vu sa photo sur le journal interne du centre), faire véhiculer un Gitan pour venir me harceler. J’ai avisé le Gérant de ce centre équestre de la gêne causée qui vient de cette Dame et de certains de ses subordonnés. On provoque mes chutes du cheval, on supprime mes cours à mon insu et à mon arrivé on me dit tu ne t’es pas inscrit, on m’a bloqué au galop 3 ! J’ai fait intervenir tour à tour assistante sociale, conciliateur, avocats, service des sports de la Préfecture, Comité national et départemental de l’équitation etc. on les a dissuadés en prétendant qu’on veille sur ma sécurité. Alors qu’ils l’ont mis en péril, par les accidents qu’on me provoque ! J’ai failli une fois perdre l’œil suite à une chute d’une jument qui ne m’est pas adaptée. Le résultat de cette chute était de : un mois d’ITT. Ma plainte du mois de mai 2019 pour violence involontaire harcèlements et discrimination a été aussi classée sans suite ! J’ai pourtant mis en avant une Jurisprudence concernant une condamnation d’un centre équestre par la justice pour une chute d’une Dame du cheval. En 2020, le centre équestre m’a expulsé. Car j’ai contesté la continuation dans la stratégie de me faire tomber. Ma monitrice réussit à me faire croire, après une séance de sauts, que j’étais mal sanglé. Elle me propose de me resangler la selle. Mais, elle l’a desserrée ! La selle tourne autour du ventre du cheval. Je me trouve par terre. Mes contestations n’ont pas plu aux responsables. On m’a expulsé ! Devant leur refus d’annuler leur expulsion, j’ai confié l’affaire à une première avocate pour faire un référé. J’ai attendu deux mois ! Par l’intermédiaire du Bâtonnier elle m’a fait payer 750 € sans qu’elle dépose son référé ! J’ai saisi le T.A sans l’assistance d’avocat. Ma saisine a été rejetée. Car le centre équestre est semi-public. J’ai confié l’affaire à un avocat pour 3000 € et 300 € pour son huissier. Il a envoyé son assignation le 21 janvier 2021 sans l’avoir corrigé comme je lui ai demandé (il a mis par exemple UCPC alors que c’était UCPA) ce qui a poussé l’UCPA de contester et même demander le rejet de l’affaire. Mon avocat m’a convoqué le mois d’octobre 2021. Il m’a lu une correspondance de l’UCPA prétendant qu’elle a pris contact avec moi. Je lui ai proposé d’exiger la preuve. Je lui ai proposé une deuxième fois le mois de juin 2022, dès la réception de son mémoire des corrections et d’ajouter certaines pièces. Il ne l’a pas fait ! Mars 2023, il m’a annoncé son départ à la retraite. J’ai insisté en vain pour qu’il finisse son travaille. Car, il ne m’a ni informé ni l’avoir mentionné dans la convention. Son remplaçant du même cabinet, m’a fait payer 1800 €. Devant le flou de ses réponses je lui ai envoyé, par mails surtout les preuves qui démontrent le manque de sérieux des responsables de l’UCAP. Se sentant sous mes pressions, il a ajouté le nom du partant à son email dès le mois de novembre 2023. Mes avocats ne m’ont pas expliqué la ruse de l’UCPA. Trois jours avant l’audience du 22 février 2024, l’avocat m’a informé qu’il a versé au débat toutes les preuves que je lui ai envoyées. J’ai débarqué le jour de l’audience au Tribunal. La plaidoirie de sa remplaçante ne m’a pas convaincu. J’ai proposé à la Présidente du Tribunal l’ajout de pièces. Elle a refusé et ajoute : votre avocate vous a bien défendu ! L’UCPA a joué sur le mot adhérent. Or, les pièces que j’ai envoyées à mes deux avocats démontrent bien que j’étais adhérent, l’UCAP m’adressait des emails avec la mention : adhérent. L’UCAP considère la Fédération Française de l’équitation adhérente. Or je suis adhérent à la FFE qui reconnait mon adhésion par l’intermédiaire de ma licence. L’avocat qui a pris la relève, a retiré ma licence de ses pièces versées au débat. Or, cette licence ne peut être accordée que lorsqu’on est adhérent à un club. L’UCAP prétend que le mot adhérent prend un autre sens ! J’avais même un compte adhérent chez l’UCAP, mon avocat n’a pas exigé le statut de l’UCAP qui valide son prétendu, ni la preuve que l’UCAP m’a mis au courant que je n’étais pas adhérent, ni les raisons d’expulsion qu’elle a mises en avant comme par exemple la mise en danger de la vie d’autrui ! Alors que c’était plutôt l’UCAP qui a mis ma vie en danger en provoquant par exemple mes chutes (ces preuves ont été aussi retirées du dossier !). J’ai perdu l’affaire car l’UCPA ne m’a pas considéré adhérent ! Last but not least, cet avocat qui m’a fait payer 1800 €, il m’envoie le jugement par email une semaine après sa réception, me demande si je compte faire appel sans m’informer du délai que je dois respecter pour faire cet appel ! J’ai réussi à faire appel par l’intermédiaire d’une autre avocate. Comme vous remarquez Maître, il y a un manquement à la déontologie de la part des deux avocats La première lettre que j’ai envoyée à cet avocat m’a été retournée : NPA ! Je l’ai renvoyé à la même adresse, en supprimant le nom du partant à la retraite. Elle a été retirée. Mais, je n’ai pas reçu de réponse. Je n’ai pas saisi le Bâtonnier cette fois-ci avant la consultation d’un avocat digne de foi. Pouvez- vous prendre mon affaire ou m’orienter vers un avocat sérieux ? Dans l’espoir d’accepter ma demande veuillez Maître recevoir mes salutations distinguées Imed Chellouf. Droit civil et familial à Marseille 9e Arrondissement (13009).